Ces 10 conseils devaient conclure la table ronde “Je t’aime moi non plus, les jeunes et l’entreprises” organisée par les étudiants du Master RH de Dauphine. Par faute de temps je n’ai pas pu les donner toute. Les voici donc.
N’hésitez pas à les mettre en doute ou à les compléter en commentaires.
10 - Marketez votre projet professionnel
Pour entrer dans la place et satisfaire le gardien du temple (le recruteur) vous devez connaître la direction dans laquelle vous souhaitez aller. Nous sommes bien d’accord que par la suite vous construirez votre carrière par tâtonnement mais il est important d’aider le recruteur à vous trouver un emploi parmi ceux qu’il a en stock. Il ne va pas en inventer un spécialement pour vous ! C’est seulement une fois dans la place que vous pourrez commencer à trouver votre place et évoluer en navigant à vue.
9 - Tombez amoureux de votre job
On fait dire ce que l’on veut aux enquêtes mais plusieurs enquêtes récentes remettent la rémunération en tête de liste des motivations à accepter un emploi. Pourtant sur le long terme, ce n’est pas l’argent qui vous donnera l’énergie de devenir le meilleur dans ce que vous faites et continuer à apprendre jour après jour. Bien sur que parfois il/elle a mauvaise haleine mais l’amour ne s’arrête pas à ce genre de détail et l’intérêt que vous trouverez dans votre entreprise, votre emploi et vos collègues le vaut bien.
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Comment faire lorsque vous êtes jeune diplômée, que vous recherchez du travail sur un marché de l’emploi qui n’est pas à votre avantage et que vous n’avez pas d’expérience ou de compétence éprouvée à vendre ?
Il n’y a pas beaucoup de choix : vous cherchez à être différente !
C’est ce que Emma a bien compris en lançant son blog sur sa candidature à un emploi. Elle a monté une véritable opération de communication autour de ma recherche d’emploi afin de développer la visibilité de son CV et de le proposer en spontané. A partir d’un vrai plan de communication, elle rassemblé des compétences diverses autour de son projet (graphiste, photographe, imprimeur) et contacté la presse.
Emma, fort de cette expérience, ne devrais tu pas lancer ta propre agence plutôt ?
Merci à Marine Relinger pour avoir relayé cette info. Le blog de Marine
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Dans la série “sondages qui ne servent à rien”. Les américans détestent leur travail plus que jamais depuis ces 20 dernières années, moins de 50% s’estimant “satisfaits”.
Pour ceux qui connaissent les travaux de “The Gallup Organization” avec leur étude internationale sur le désengagement basé sur leur “Q12″ cette nouvelle étude de “TheConference Board” nous donne de nouvelles informations:
D’abord, la tendance est plus forte parmi les salairés agés de moins de 25 ans, moins de 39% d’entres-eux n’étant pas satisfait de leur emploi.
Les employés agés de 45 à 54 ont le second plus mauvais niveau de satisfaction (moins de 45%).
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Désengagés, globe-trotters et enfants gatés, voilà comment les québequois voient leurs nouveaux diplômés. Ce dossier publié il y a un an au Québec vous dit tout ou presque sur les nouveaux comportements de cette génération arrivant (ou qui essaient d’arriver) sur le marché du travail nord américain.
Cet article confirme les jeunes diplômés n’ont pas l’esprit d’entreprise mais l’esprit d’entreprendre. S’ils n’ont pas les mêmes priorités que leurs ainés (construire une carrière et offrir le meilleur à leurs enfants) ils n’en sont pas moins prêts à mouiller leur chemise pour un projet qu’il estime et aller jusqu’au bout des choses en supportant la confiance investie en eux…
Lire la suite de ce dossier sur Canoe
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Cet article du nouvel observateur illustre les raisons pour lesquelles les jeunes salariés se permettent d’être difficile en matière d’emploi.
1 - Ils recherchent un emploi intéressant dans lequel ils puissent s’épanouir.
2 - Ils attendent de travailler pour un dirigeant les considérants comme des individus et non des moyens de production.
2 - Ils veulent du “sens”. Travailler pour un objectif ayant un impact sur la communauté.
3 - Ils en ont les moyens ! S’il est connu que les jeunes diplômés restent de plus en plus longtemps chez leur parents, certains - surnommés les “boomerangs” - reviennent après une plus ou moins courte expérience professionnelle.
Est ce que les antiboulot on un avenir dans un pays où le taux de chômage est l’un des plus élevés d’Europe et la durée hebdomadaire du travail, la plus courte ? Est ce un phénomène de mode ou un mouvement de fond ?
Un article du nouvel observateur
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