

La génération facebook
Publié par Benjamin dans 2.0, Genera(lisa)tion Y, Management, tags: 4c, 4i, facebook, génération Y
Comme nous l’expliquons dans nos conférences, les attentes des nouveaux salariés reflètent l’environnement social du web. C’est lorsque les« 4i » des nouveaux comportements” (individualisme, Interconnection, Impatience et Inventivité) rencontrent les « 4C » du “web of life” (Communauté, Collaboration, Conversation et Customisation). 12 caractéristiques de la vie en ligne pour aider les managers des « fortunes 500″ à réfléchir aux directions à donner à leurs pratiques de management et à dépasser leurs postures bureaucratique.
1. Toutes les idées se comparent sur un pied d’égalité
Dans le web, chaque idée a sa chance d’avoir une suite – ou pas et personne n’a le pouvoir de tuer une idée subversive étouffer un débat embarrassant. Les idées gagnent de l’attraction en fonction de leur mérite perçu plutôt que selon le pouvoir politique de leur sponsors.
2. Les contributions comptent plus que les références
Quand vous postez une vidéo sur YouTube, personne ne vous demande de quelle école de cinéma vous êtes diplômé. Quand vous écrivez un blog, personne ne s’intéresse de savoir si vous êtes journaliste. Statut, titre et diplôme—aucun de ces différentiant habituels n’a de poids en ligne. Sur internet, ce qui compte n’est pas votre CV mais ce que vous contribuez à diffuser.
3. Les Hiérarchies sont naturelles, non prescrites
Dans un forum, les membres les plus influents sont ceux qui imposent d’avantage le respect et attire plus l’attention. Ces « influenceurs » n’ont pas été nommés par une autorité supérieure. En fait, leur influence reflète l’approbation de leurs pairs. Sus le web l’autorité est montante, pas descendante.
4. Les leaders servent, ils ne dirigent pas
Sur le Web, chaque leader est un serviteur. Personne n’a le pouvoir de commander ou de sanctionner. Les arguments crédibles, l’expertise démontrée et les comportement hédonistes sont les seuls leviers utilisable pour faire faire les choses par les autres.
5. Les tâches sont choisies, pas assignées.
Le Web est une économie du choix. Que ce soit pour contribuer à un blog, participer à un projet open source ou donner des conseils dans un forum, les gens choisiront de travailler sur les choses que les intéressent. Tout intervenant est un travailleur temporaire indépendant et chacun se gratte soit même ou ça démange.
6. Les groups se définissent et s’organisent d’eux-mêmes
Sur internet, vous pouvez choisir vos compatriotes. Dans n’importe qu’elle communauté en ligne vous avez la possibilité d’entrer en contact avec les personnes que vous sélectionnez et d’ignorer le reste. Vous pouvez en quelques lignes partager des choses profondes et ne rien dire à d’autres. Exactement comme personne ne peut vous assigner de tâches fastidieuses ou de travailler avec des collègues ennuyeux.
7. Les ressources sont attirées, pas affectées.
Dans les grandes organisations, les ressources sont affectée à partir du haut dans une querelle politique suivant un plan parfois « soviétique ». Sur le web, les efforts humains se dirigent vers les idées et les projets les plus attractifs (et fun), et s’éloignent de ceux qui ne le sont pas. Dans ce sens, le Web est une économie de marché dans lequel des millions de personnes peuvent décider - à tout moment – comment dépenser leurs ressources les plus précieuses que sont le temps et l’attention.
8. Le pouvoir vient du partage de l’information, pas de sa rétention.
Le Web est aussi une économie du gratuit, c’est l’ère de la freenomic. Pour gagner de l’influence il faut donner son expertise et offrir du contenu. Et vous devez le faire rapidement où quelqu’un d’autre le fera à votre place et récupérera le crédit qui était le votre !
9. Les opinions sont composées et les décisions sont revues par les pairs
Sur internet les idées vraiment intelligentes se propagent rapidement, et ce, peu importe leur décalage (disruption). Le Web est un media presque parfait pour agréger cette fameuse sagesse de la foule. Qu’il s’agisse d’opinions formellement organisées ou de discussions détendues. Une fois réunie, la voix des masses peut être utilisés comme caisse de résonance pour défier les institution du monde hors-ligne.
10. Les utilisateur peuvent veto les décisions politiques
Comme beaucoup de grands manitous de l’internet l’ont appris à leur dépend, les internautes sont opiniâtre, bruyants et attaquent rapidement toute décision ou changement politique qui semble être contraire aux intérêts de la communauté. La seule façon de garder les utilisateurs fidèles est de leur donner un poids substantiel dans la prise de parole. Vous pouvez construire une communauté mais ce sera en réalité à ses utilisateurs qu’elle appartiendra.
11. Les récompenses intrinsèques comptent le plus
Pensez à tous les articles de Wikipedia, à tous les logiciels open source créés, tous les conseils gratuits donnés. Essayez d’imaginer le nombre d’heure de bénévolat pour créer tout cela ! C’est évident que les êtres humains ont beaucoup à offrir lorsqu’on leur donne la chance de contribuer à quelque chose qui est important pour eux. L’argent est important mais pas autant que la reconnaissance et le sentiment d’accomplissement.
12. Les Hackers sont des héros
Les grandes entreprises ont tendances à rendre la vie difficile aux activitses et rabats-joies peut importe qu’ils apportent des idées constructives. Au contraire les communautés virtuelles suivent les avis anti-autoritaires. Les mécontents sont célébrés comme des champions des valeurs démocratiques d’internet — particulièrement s’ils ont réussis à hacker un bout de code (voir autre chose…) qui interfère avec les droits numériques inaliénables.
Ces caractéristiques du « web of life » font parties de l’ADN social de la culture 2.0/comportement Y/génération Facebook mais sont majoritairement ignorées des grandes entreprises. Certes, beaucoup de monde cherche un job en ce moment mais sont ils vraiment prêt à embaucher chez cubicyle land ?
L’article en anglais
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