Posts Tagged “internet”

zen2 Avec le Web 2.0 cest la génération Y qui prend la relève de la generation X

Chaque génération s’est nourri de ce qui s’est passé dans le monde, dans son quotidien. L’internet est le nouveau territoire d’expérience apparut réellement au début des années 90. Il est très intéressant de noter que les deux dernières générations (X et Y) ont chacune donné naissance à une génération du Web (1 et 2).

Le Web 1 a en effet, été créé par des étudiants et de jeunes chercheurs de l’époque. Ils étaient les plus jeunes représentants de la Génération X (ceux qui sont nés en gros entre 1959 et 1977).

Le Web 2.0 [lire Wikipedia] lui est l’étiquette donnée en 2004 au renouveau du Web.
Même si de “de vieux brisquards du Web 1″ ont rempilé, il en reste pas moins que les principaux acteurs du Web 2.0 sont de la génération Y. Pour illustrer citons : Mark Zuckerberg Facebook, né en 1984, ou Chad Hurley de Youtube né en 1977,

Biberonnés à l’Internet 1, la génération Y a construit son Web (2.0) sur les bases solides de l’Internet 1. Mais ils lui ont apporté leurs différences en réaction/opposition à l’héritage de la génération précédente.

Pour se sentir bien dans “leur Web” et répondre à leurs attentes (Celles de la génération Y), ils ont donné naissance à des usages plus qu’à des technologies. Ces usages du Web 2.0 donnent le pouvoir aux utilisateurs individuellement mais aussi et surtout collectivement. Plus de transparence, plus d’ubiquité, plus d’ouverture aux autres,…

Ma conviction est que comme pour le Web, l’entreprise et le management connaissent des “transformations générationnelles”. Mais beaucoup moins rapides et visibles, car elles sont des terrains d’expression et d’actions beaucoup plus bridés pour quelques bonnes raisons (loi de la rentabilité économique, complexité des organisations) et beaucoup de mauvaises (syndrome pas inventé ici, conservatisme pour protéger une situation établie mais obsolète,…). L’entreprise Y 2.0 est en marche mais doucement.
-

Comments Un commentaire »

figure1 Etudes, recherches et internet

Une enquête “Beyond Google : How do students conduct academic research ? “coupe court à la rumeur selon laquelle les étudiants se contentent de faire du copié/collé d’informations glanés sur internet pour leurs devoirs. Enfin en tout cas concernant les 3800 élèves d’un collège catholique californien. Dévoilé en juillet cette étude a analysé les méthodes de recherche des étudiants.
Contre toute attente ils n’utilisent pas internet comme première source d’information.

Selon cette étude les étudiants commencent d’abord par utiliser les documents à leur immédiate disposition c’est à dire leurs cours (40%) et la bibliothèque en ligne (23%). Dans les moyens les moins utilisés on trouve 1% des élèves ayant acheté un livre, 3% utilisant Wikipedia et 12% se renseignent auprès de leur professeur.
Choses importantes ils préfèrent utiliser un moteur de recherche type Google ou Yahoo que d’utiliser le contenu d’un blogs ou de wikipedia qui n’est pas jugé d’une qualité suffisante pour être utilisé en devoir.

Mais cette étude est plus large et prend en compte l’ensemble des comportements des étudiants face à une recherche à effectuer pour un travail à rendre.
Ainsi 73% avouent avoir du mal à se mettre au travail et reporter au lendemain le travail à faire. Plusieurs raisons sont avancées :
Pour 85% des étudiants c’est d’abord de la faute des professeurs eux-mêmes qui ne donnent pas de directives suffisamment claires.
Pour 60%, ils ont du mal à faire le tri dans la pléthore d’information dont ils ont à leur disposition (60% des étudiants interrogés). C’est ce trop d’information qui tue l’information qui pousse les étudiants

Dans les demandes d’assistance recencées :
82% souhaiteraient pouvoir remettre un brouillon au professeur afin d ‘avoir son avis avant de rendre le devoir final,
68% apprécieraient un rendez-vous personnalisé avec le bibliothécaire pour réduire le champs des recherches,
72% aimeraient pouvoir recevoir un suivi pédagogique de leur professeur sur les méthodes de recherche.

Finalement cette génération ‘utilisateurs préfèrent utiliser le net pour chatter, télécharger ou alimenter leur blog.

Accéder à l’enquête en anglais

Comments Pas de commentaire »

Ce terme utilisé la première fois par Dale Dougherty ( ici en français, en anglais) décrit la transition du web qui autorise désormais l’interaction entre les utilisateurs et la création de réseaux sociaux.

Cette génération Y est issue de son environnement. Et cet environnement “2.0″ se caractérisée par la possibilité de ne pas seulement “écouter” une vidéo ou “lire” un site web mais de “répondre” et de “participer” en ligne.

J’ai recensé plusieurs outils permettant de travailler de façon instantanée et collaborative.

N’hésitez pas à m’en signaler d’autres, je mettrai la liste à jour conséquence

Slideshare , le Youtube des conférenciers. Partagez vos présentations Powerpoint ou inspirez vous de celle des autres.

Netvibes , le portail permettant d’aggréger les flux RSS et suivre en temps réel les posts publiés sur vos blogs préférés

Viadeo , le réseau professionnel français et son pendant international linkedin

Facebook , pour rassembler votre réseau social non professionnel et partager des photos.

Flickr , pour partager vos chefs d’oeuvre photographique et visiter le monde de votre fauteuil

Twitter ou Frazr en français, pour faire savoir ce que vous êtes en train de faire en temps réel à votre communauté

Omnidrive , 1 Go d’espace disque gratuit pour vos copies de sauvegarde et partager vos documents

Tangler , un nouveau moteur de communication pour tout échanger. Visionner leur vidéo de présentation pour mieux comprendre de quoi il s’agit.

MediaWiki . Logiciel open source pour créer son wiki sur le modèle de Wikipédia

Basecamp résout les problèmes de communication entre les membres d’un projet. Gestion du temps, échange de messages, partage des tâches, tout y es. Suivez le guide . Vous avez aussi activecollab la version open source et donc, gratuite. D’autres outils incroyables sont en ligne sur le site de l’éditeur tel que Highrise .

Wordpress , facile à installer, pas besoin d’être un pro pour utiliser ce moteur de blog open source en français.

Second life , beaucoup a été dit sur ce monde virtuel ayant sa monnaie locale. Peut être est-il encore trop tôt pour en connaître son utilité professionnelle et trop tard pour profiter de sa notoriété en ouvrant son bureau virtuel.

Je rajoute donc myspace suite au commentaire de Cécile. My bad, c’est vrai que je classe plutôt la musique comme “détente” en oubliant que boucoup de personnes travaillent dans ce secteur. Ce site pour permet donc de dévelopepr son réseau pour trouver des concerts et des contacts, assurer la promotion de ses événements, etc..

Comments 2 commentaires »