Est-ce que vous vous sentez anxieux de ne pas pouvoir vous connecter sur Internet ou de vous retrouver brutalement déconnecté en pleine conversation téléphonique? Si c’est le cas, pas de panique, non seulement vous n’êtes pas seul, mais en plus, miracle, il y a un mot pour cela: « discomgoogolation » ou “déconcertion” en français.
Une étude clinique révèle que l’activité du cerveau et la pression sanguine de ces sur-connectés augmentent lorsqu’ils sont brutalement déconnectés. Ce stress équivaudrait à une demi-heure de retard à un rendez-vous important ou de passer un examen. 44% des britanniques « souffriraient » de ce mal sachant que la moitié de la population passe 4 heures en ligne. Les français sont sans doute très proches de ces chiffres.
Avec la prolifération de l’informatique connectée, et surtout, les débits ADSL (La France et Le Royaume Uni étant parmi les deux pays les mieux équipés), nous sommes entrés dans une ère de la “réponse instantanée” dans laquelle le sentiment de solitude et la déception de ne pas avoir sa réponse immédiatement créés une frustration.
En anglais, ce terme vient de « discombobulate » qui signifie « être confus ou frustré ». En français il s’agit du regroupement des mots déconcerter et déconnection
Plusieurs psychiatres proclamant que l’utilisation abusive d’internet devrait être reconnue comme un trouble clinique commencent à se faire entendre.
Un article en anglais sur se sujet sur le site de Mail online
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Un article de David Fallarme, un canadien étudiant en marketing nous donne une vision intéressante des différences de communication entre générations.
Tout d’abord David nous présente les bases de la communication des Boomers lorsqu’ils étaient eux-mêmes étudiants : La poste, le téléphone des parents et, bien sur, les rencontres.
En empruntant les pas d’un responsable Marketing, il est certain que les moyens de promouvoir une marque passaient par le Marketing Direct (envoyez votre pub papier à un maximum de personne en jouant sur le volume) ou la télé (remplissez les magasins de vos produits et achetez un maximum de spots de pub sur les quelques chaines nationales). Criez le plus fort! Vendez des produits de masse au cycle de vie très long avec des moyens de communication de masse !

Arrivent ensuite les « X » avec les premiers emails persos et les Pagers, (Qui a dit e-bop ?). Constante : il s’agit toujours le téléphone des parents.
Et les beaux jours du télémarketing arrivèrent soutenu par Internet qui prit petit à petit la relève. On reprend les mêmes outils sauf que le Marketing Direct devient du spam et les télémarketeurs des nuisances.
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Les baby-boomers sont les seuls à aimer le nom de leur génération !
Si ça ne va pas changer le monde et s’il n’y a rien de nouveau, cela vaut bien un petit article me permettant de caser cette image.
Pour ceux qui ont manqué les épisodes précédents, nous avons en ce moment 5 générations démographiques (en plus ou moins bon état) :
Generation Y (agés de 13 à 31 ans)
Generation X (agés 32 à 43 ans)
Baby Boomers (agés 44 à 62 ans)
La Generation silencieuse (agés 63 à 83 ans)
La « grande » Generation (agés de 84 ans et au-delà)
Pourquoi est ce que depuis les Baby-Boomers les générations ne sont affublées que d’une seule lettre ?
Parce que deux auteurs/sociologues William Strauss et Neil Howe ont publiés un ouvrage intitulé Générations dans lequel ils décrivent les générations américaines depuis 1584. Selon eux, il existe en tout et pour tout 4 types de générations qui se suivent dans un cycle sans fin. Si leur thèse publiée en 1991 n’a pas été suivie par les historiens, elle l’a été par un romancier canadien, Douglas Coupland qui, la même année, a réutilisé cette dénomination pour en faire un ouvrage « Generation X : Tales for an Accelerated Culture ». Il décrit l’angoisse existentielle de cette génération en quête de nouvelles valeurs spirituelles. Vous pouvez toujours trouver ce bouquin en France sous le nom de Génération X
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